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NOTRE PROJET POUR LES INVESTISSEMENTS DESIRABLES AU PAYS
LE DEVELOPPEMENT DES COMMUNAUTES AU SEIN DU VILLAGE PLANÉTAIRE
La notion de développement de notre pays dépend moins des ressources du sous-sol tant convoitées par le monde que de la croissance des capacités de production de nos populations rurales, le monde urbain étant pour beaucoup consommateur. Le politique devra ainsi s’investir dans la croissance et la réduction de la pauvreté au bénéfice des membres les moins favorisés de la société civile. Nous apprenons qu’un des moyens les plus efficaces pour soulager la pauvreté consiste à promouvoir une croissance rapide parmi les pauvres des zones urbaines et rurales. Les économistes du développement admettent aujourd’hui que l’autonomisation des ruraux par les activités génératrices de revenus est un instrument efficace de lutte contre la pauvreté.
Nous sommes ainsi résolus de soulever cette question et d’y trouver des pistes de solution réalisables par et avec les populations elles-mêmes, en particulier ceux qui habitent les zones rurales, notamment le renforcement du développement rural. On passera alors par l’instauration des infrastructures physiques et sociales adéquates, les micro-entreprises et les petites entreprises si vitales pour les communautés rurales, l’accès des zones rurales à l’information, à l’éducation, aux technologies et au financement, afin que leurs activités puissent, à terme, déboucher sur des initiatives de plus grande envergure.
Dans tout cela, l’énergie tout d’abord, sans laquelle le développement ne serait possible.
Comme dans tout projet communautaire, la formation reste indispensable bien que coûteuse. Il faut aider les communautés rurales à améliorer leurs capacités de production et de gestion en acquérant de nouvelles compétences grâce à des programmes de formation professionnelle et à des stages de terrain. Notre pays est spectaculairement riche en terre arable. La population est démotivée dans la production tant par la politique de non aménagement des infrastructures de transports, des impositions insupportables politico-administratives que des méthodes de travail ne répondant plus à la vitesse de l’évolution.
Notre procédure essentiel est de pour réduire la pauvreté est de soutenir les acteurs du secteur informel en leur donnant la possibilité de créer des entreprises plus viables, avec des associations de tout genre pour les sensibiliser à leur rôle et à leur contribution au développement. Il faudra augmenter l’efficacité et la productivité dans les communautés rurales en facilitant l’accès aux financements et aux autres moyens. Notre peuple étant à majorité agriculteur, les agriculteurs et les négociants doivent avoir à présent, accès à des prix plus favorables à la qualité de la production et encore plus la possibilité des Centres Pilotes de Crédits Agricoles organisés localement.
Aussi peut-on penser à l’amélioration de leurs capacités de transport et de stockage pour permettre de réduire les pertes alimentaires évitables d’avant et après récolte, pertes estimées à près de 40 % de la production dans bien des pays d’Afrique subsaharienne.
Il est recommandé de gérer de façon modèle et adaptée la gestion du réchauffement climatique et de la dégradation de l’environnement. Pourtant partout au pays, point n’est question de problèmes causés par la sécheresse, la désertification et le manque général d’eau, ni de carence de forêts et savanes.
Nos suggestions en ce module tombent bien à propos la fin de l’observations des OMD (en échec) en vue de réparation des pratiques dévastatrices de notre nature, d’introduction de celles qui font défaut, et encore d’exploitation de diverses énergies durables qu’offre la nature.
Du point vue organisationnel, nous nous basons sur le Secteur administratif qu’il est impératif d’organiser entant que point focal. Le sous bassement de tout est l’Organisation Communautaire de Base.
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