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  Pierre noire contre le serpent 24/11/2024 00 12 43 (UTC)
   
 

Santé !  La pierre noire et son usage 

Une pierre noire est un morceau d'os noir ressemblant à une pierre utilisée par certains routards pour soigner les morsures de serpent. Grâce à sa forte capillarité, elle aspirerait le venin par le trou de la morsure, et éviterait ainsi au venin de se répandre dans le corps. Mode d'action. La méthode consiste à placer la pierre noire sur la morsure.

En agissant comme une ventouse, elle reste collée, quelques minutes ou quelques jours. Quand elle se décolle, tout le venin aurait été aspiré. Fiabilité Si tant est qu'elle soit authentique et que son efficacité soit démontrée, elle ne fait que retirer le venin qui ne s'est pas encore répandu. Cela ne garantit pas d'être sauvé.

• 50 % des morsures de serpent sont « blanches » (ou sèches), c'est-à-dire ne comportant pas de venin. Ainsi il peut y avoir des témoignages positifs de personnes qui ne sont pas mortes et qui ont utilisé la pierre noire, sans que les deux ne soient liés.

• À l'inverse, les personnes ayant utilisé la pierre noire et n'ayant pas survécu ne sont plus là pour en témoigner. Seule une étude thérapeutique scientifique pourrait donc prouver l'efficacité, or l'étude ci-jointe[1] émet toutes les réserves possibles…

Confection

Un voyageur sur le site du Routard indique qu'il faut utiliser un os, le limer et le carboniser, puis le chauffer dans du lait pendant une heure, et finalement le laisser reposer dans du lait froid pendant 48 heures. L'os ayant absorbé le calcium du lait est alors prêt à l'usage.

Origine

On apprend de certains forums sur Internet que la pierre noire aurait été confectionnée par les Pères blancs belges, qui auraient appris cette technique de chamans africains. On l'appelle souvent la "Pierre Noire des Pères Blancs" parce que cet ordre missionnaire en a découvert le procédé de fabrication chez des guérisseurs traditionnels et en a répandu l'usage.

La pierre noire est un morceau d'os traité pour être utilisé contre les morsures des serpents, les piqûres des scorpions et contre les abcès en formation, renseigne l'article " Comment produire une pierre noire " du chercheur indépendant Lungeba Sakananu dans le magazine Mwana Mboka, n° 37.

Pour les morsures et abcès, l'article conseille d'inciser l'endroit avec une lame de rasoir stérilisée avant d'appliquer la pierre noire, attendre que la pierre absorbe tout le poison de l'endroit attaqué et qu'elle tombe d'elle-même ou qu'on l'enlève soi-même.

Pour fabriquer une pierre noire, explique l'article, on peut utiliser tous les os à moelle bien sec sans matière grasse, du bois de chauffage ou du charbon. L'article décrit les différentes étapes de la manière suivante : bien laver et bien nettoyer l'os afin de la dégraisser, couper en petit morceau de 5 à 6 cm de long et 3 cm de large, limer ces petits morceaux et les nettoyer de nouveau. Préparer ensuite le charbon de bois, le rendre bien ardent sur une plaque ou à un endroit bien plat, écarter ce charbon et y mettre ces os, le creux tourné au sol puis les recouvrir du charbon. Après les différentes transformations que connaîtra l'os : de la couleur blanche à la couleur noire, tremper dans l'eau tiède pour faire sortir toutes les bulles de gaz et vérifier enfin l'efficacité de l'opération en appliquant la pierre contre la partie intérieur de la lèvre inférieure ou supérieure, si elle colle, c'est un signe du bon résultat.

Une pierre noire, indique l'article, s'entretient après usage en la plongeant dans l'eau préalablement bouillie pendant une heure, et la replonger dans du lait pour une durée de deux ans et enfin la nettoyer.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Christ MASOMO Uba Masomo "Ya Papa".

Christophe MASOMO Uba Masomo, de son nom traditionnel, MASOMO Mbidi Ngani Kisungu Magonso Ndonzoao Christophe Richard, communément appelé Ya Papa. Né un certain 07 Juillet 1962 à Tumba-Mani, au Kôngo Central (Ex. Bas-Zaïre), son père Michel MASOMO (décédé le 22 février 2010 à Kisantu) était enseignant (Directeur d’école primaire catholique), est originaire de Mfidi/Malele. Sa mère, Louise MUNKOKA Kizunda, ménagère de formation, est originaire de Kingoma, à Wungu/Kimpemba, appartenant à la lignée Kinziedi Kintuala. Elle donne six enfants, trois filles trois garçons, et surnomma par circonstance le 2è, Christ Masomo, Makisosila.
Christophe MASOMO passera ses études primaires dans des écoles catholiques de Kintusi (1971), Mpese (1972) puis Saint Joseph (Mfuki garçons, 1974). Il sera interné pour le cycle d’orientation (CAJACO) au Collège Notre Dame de Mbansa-Mboma jusque 1976. Après 2 ans de repos médical, il termine les humanités en 1982 à l’Institut catholique Ngwisana de Lemfu (Christ-Roi). Dès 1982, Christ Masomo vagabonde entre les études, notre beau métier ainsi que l’aventure touristique.
A Kinshasa, il avale son beau calvaire. Abandons cumulés des études techniques, commerciales, puis techniques professionnelles. Il en arrive après tout à la Gestion Administrative, puis viendra le graduat en Sciences de Développement et celui en Informatique avant de terminer les Sciences Infirmières.
Vite, il combine les secteurs privé et public : Enseignant au secondaire, Enseignant de relève puis Directeur Adjoint au primaire, Secrétaire Administratif d’Institut Supérieur, Secrétaire Administratif puis Secrétaire Général Adjoint d’ONG, Assistant Médical de Centre de Santé, Consultant d’Organisme local. Appelé au Congo (Pointe Noire) en 1994 pour une mission mixte d’ONG de santé, il sera bloqué à Brazzaville suite aux effets de la guerre 11 mois durant. En 1995, il regagne Kinshasa/Zaïre où il achève ses cycles de licence respectivement en Sciences de Développement et en Informatique de Gestion. Il s’engage désormais dans la profession libérale et humanitaire. - De Brazza à KIN, il dispense la formation de "l’Ecriture Négro-Africaine" qu’il apprit de l’inventeur WABELADIO Pay.

(A SUIVRE)
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  JE TE PARLE A TOI JEUNESSE
LETTRE À LA JEUNESSE
de Amadou Hampâté Bâ

Extrait de : "Lettres ouvertes à la jeunesse - Concours Dialogue des générations" organisé par l'ACCT (Agence de Coopération Culturelle et Technique) pour l'année "1985, Année internationale de la Jeunesse".

Mes chers cadets,
Celui qui vous parle est l'un des premiers nés du vingtième siècle. Il a donc vécu bien longtemps et, comme vous l'imaginez, vu et entendu beaucoup de choses de par le vaste monde. Il ne prétend pas pour autant être un maître en quoi que ce soit. Avant tout, il s'est voulu un éternel chercheur, un éternel élève, et aujourd'hui encore sa soif d'apprendre est aussi vive qu’aux premiers jours.

Il a commencé par chercher en lui-même, se donnant beaucoup de peine pour se découvrir et bien se connaître, afin de pouvoir ensuite se reconnaître en son prochain et l'aimer en conséquence. Il souhaiterait que chacun de vous en fasse autant.

Après cette quête difficile, il entreprit de nombreux voyages à travers le monde : Afrique, Proche-Orient, Europe, Amérique. En élève sans complexes ni préjugés, il sollicita l'enseignement de tous les maîtres et de tous les sages qu'il lui fut donné de rencontrer. Il se mit docilement à leur écoute. Il enregistra fidèlement leurs dires et analysa objectivement leurs leçons, afin de bien comprendre les différents aspects de leurs cultures et, par là même, les raisons de leur comportement. Bref, il s'efforça toujours de comprendre les hommes, car le grand problème de la vie, c'est la MUTUELLE COMPRÉHENSI0N.

Certes, qu'il s'agisse des individus, des nations, des races ou des cultures, nous sommes tous différents les uns des autres ; mais nous avons tous quelque chose de semblable aussi, et c'est cela qu'il faut chercher pour pouvoir se reconnaître en l'autre et dialoguer avec lui. Alors nos différences, au lieu de nous séparer, deviendront complémentarité et source d'enrichissement mutuel.

De même que la beauté d'un tapis tient à la variété de ses couleurs, la diversité des hommes, des cultures et des civilisations fait la beauté et la richesse du monde. Combien ennuyeux et monotone serait un monde uniforme où tous les hommes, calqués sur un même modèle, penseraient et vivraient de la même façon ! N'ayant plus rien à découvrir chez les autres, comment s'enrichirait-on soi même ?

A notre époque si grosse de menaces de toutes sortes, les hommes doivent mettre l'accent non plus sur ce qui les sépare, mais sur ce qu'ils ont de commun, dans le respect de l'identité de chacun. La rencontre et l'écoute de l'autre est toujours plus enrichissante, même pour l'épanouissement de sa propre identité, que les conflits ou les discussions stériles pour imposer son propre point de vue. Un vieux maître d'Afrique disait : il y a "ma" vérité et "ta" vérité, qui ne se rencontreront jamais. "LA" Vérité se trouve au milieu. Pour s'en approcher, chacun doit se dégager un peu de "sa" vérité pour faire un pas vers l'autre...

Jeunes gens, derniers-nés du vingtième siècle, vous vivez à une époque à la fois effrayante par les menaces qu’elle fait peser sur l'humanité et passionnante par les possibilités qu'elle ouvre dans le domaine des connaissances et de la communication entre les hommes. La génération du vingt et unième siècle connaîtra une fantastique rencontre de races et d'idées. Selon la façon dont elle assimilera ce phénomène, elle assurera sa survie ou provoquera sa destruction par des conflits meurtriers.
Dans ce monde moderne, personne ne peut plus se réfugier dans sa tour d'ivoire. Tous les États, qu'ils soient forts ou faibles, riches ou pauvres, sont désormais interdépendants, ne serait-ce que sur le plan économique ou face aux dangers d'une guerre internationale. Qu'ils le veuillent ou non�
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