SITE PRIVE DE Christ MASOMO "Ya Papa Chef"  
 
  EXPOSE POUR LA JOURNEE CULTURELLE AVEC OXFAM RDC 24/11/2024 00 12 37 (UTC)
   
 

PAR CHRIST MASOMO "Ya Papa Chef"

Ø Président de l’ONG "Mouvement Relais pour les Nations Unies" (M.R.N.U)

Ø Consultant de l’ONG "AFAD"

 

INTRODUCTION

LE BUT ULTIME D’OXFAM EST DE :

METTRE FIN A L’INJUSTICE DE LA PAUVRETE.

 

Au fil des années, l’échange des compétences entre les Coopérants Volontaires d’OXFAM et partenaires locaux en matière d’analyse de la situation de l’injustice de la pauvreté, a révélé certaines priorités concrètes qui seront projetées dans notre exposé. Là-dessus, le travail s’est avéré impératif sur l’aspect humain qui reflète un déséquilibre dû à l’injustice socioculturelle des genres causée par des conflits logiquement culturels.

Les actions qui sont à découvrir concerneront alors la « JUSTICE HOMME-FEMME » au sein des communautés où les femmes ne participent pas pleinement au développement. Pourquoi, que faire et quelle solution a-t-on tenté ?

 

LE POUVOIR DE LA FEMME DANS LE DEVELOPPEMENT : UN ATOUT COMMUNAUTAIRE

 

Objectif : l’empowerment

L’empowerment est l’accroissement du pouvoir d’action des femmes.

Au Québec, on utilise parfois le terme empouvoirement.

L’empowerment (empouvoir) est l'octroi de plus de pouvoir aux individus ou aux groupes pour agir sur les conditions sociales, économiques, politiques ou écologiques qu'ils subissent. Diverses traductions ont été proposées en français : « capacitation », « développement du pouvoir d'agir », « autonomisation », « responsabilisation », « émancipation » ou « pouvoir-faire ».

 

 

L’observation quotidienne de la vie des femmes a révélé, à travers la prise en compte des différents indicateurs de développement humain  durable relatifs à l’emploi, à l’éducation, à la santé, à l’environnement,  que les femmes sont pauvres.

Pourtant, selon le rapport général de Béijing+15, le point sur les OMD indique que la problématique de la pauvreté a un lien fort et soutenu avec les inégalités de genre puisque les statuts des acteurs sociaux sont différents.

 

I-Evolution du concept « femme » dans les débats sur le développement ;

De l’époque précoloniale à nos jours, malgré l’évolution de la société et les opportunités offertes aux femmes pour leur épanouissement, la situation de celles-ci n’est pas encore meilleure.

 

Le statut et rôle traditionnellement dévolu à la femme n’a pas tellement changé, ce qui amène à supposer que sa situation sociale est toujours moins valorisante non seulement pour elle, mais aussi pour ses enfants, ce qui a des répercussions négatives sur le  développement de la nation.

 

La source des inégalités réside dans une question de mentalité : la femme est comme une propriété de l’homme et est donc reléguée au second plan.

Chez nous, les pratiques et le droit coutumier reposent sur des déterminations culturelles qui accordent des statuts et rôles différenciés selon le sexe.

Cette ségrégation traditionnelle des rôles sociaux et économiques selon le sexe compromet de nos jours l’atteinte des objectifs de développement et constitue une des principales questions de genre et développement.

 

II- Implications de la situation de la femme ;

Les inégalités concernent plus :

v la participation au processus décisionnel ;

v le mariage ;

v l’accès à l’éducation ;

v l’accès  à l’emploi et au revenu ;

v l’accès aux soins de santé, y compris la santé de la reproduction ;

v l’accès à la terre et à l’eau;

v l’accès aux crédits et microcrédits, etc.

 

Le cursus scolaire des filles est marqué par des abandons scolaires, des retraits de l’école pour l’aide domestique, pour des mariages forcés, précoces, des grossesses inattendues, ou pour être placées auprès d’une autre famille lointaine.

Pourtant, Federico MAYOR, Ancien Directeur Général de l’Unesco avait déclaré que ”Investir dans l’éducation, ce n’est pas seulement respecter un droit fondamental, c’est bâtir la paix et le progrès des peuples. L’éducation pour tous, par tous, tout au long de la vie : voilà le grand défi, et ce défi ne souffre d’aucun retard. Chaque enfant est le patrimoine le plus important à sauvegarder.”

Dans le domaine de l’environnement, l’insuffisance de l’intégration des femmes dans la problématique environnementale, l’appauvrissement continu des terres qui induit une baisse de ses revenus en même temps que de sa productivité, l’accentuation de la paupérisation de la femme doublée d’un surcroît de travail dans l’appauvrissement en eau, en bois de feu et dans les travaux champêtres, la pollution des eaux et la mauvaise gestion des ordures ménagères sont des facteurs expliquant l’inégal accès et répartition des femmes aux ressources naturelles.

 

Les us et  coutumes mieux connus ne militent pas en faveur d’une équité/égalité à cause des normes coutumières expliquant les disparités de genres tandis que le  droit civil moderne qui vise beaucoup plus la justice sociale n’est pas tellement adapté aux réalités locales.

 

Au plan économique. Bref, le secteur informel reste leur apanage, avec un faible accès au secteur formel.

 

III-Intégration du « genre » dans les politiques de développement ;

La philosophie  des Organismes de développement réside à:

Ø privilégier une approche participative visant l'autonomie et l'autodétermination des "populations" et prioritairement des femmes.

Ø tenir compte des groupes les plus défavorisés et vulnérables et leur accorder un intérêt particulier.

Là également, réside un conflit socioculturel engageant hommes et femmes.

Parler de "GENRE ET DEVELOPPEMENT" au lieu de "Femmes et Développement" signifie que

Les femmes ne constituent pas la question ou le problème. Bien que, dans tout cela, la femme elle-même demeure l’artisan de sa propre situation qu’elle entretient de quelque manière.

Le problème, ce sont les relations sociales entre les hommes et les femmes, relations discriminatoires pour ces dernières; ce qui est significatif, c'est la manière dont les rapports entre les hommes et les femmes sont définis et structurés.

Les genres étant définis par la société comme les rapports entre hommes et femmes, peuvent être changés: nous pouvons donc changer ce que nous avons créé (en tenant compte du fait que les pratiques et les comportements changent plus vite que les valeurs).

III.1. Le genre et les trois rôles

Chaque individu, femme ou homme, remplit trois rôles dans la société dont les attentes sont fonction du contexte socioculturel et de l'environnement particulier.

  • le rôle productif
  • le rôle reproductif
  • le rôle communautaire (rôle dans la société)

La répartition de ces 3 rôles entre hommes et femmes (et jeunes/vieux,...) est différente d'une époque à l'autre, d'un endroit à l'autre, d'une culture à l'autre, d'un milieu socio-économique à l'autre.

IV-Genre et développement territorial comme INNOVATION SOCIALE  pour un développement humain et durable.

Les hommes et femmes dans le développement territorial intégré

 

La notion du DTI vient de la perte de confiance des citoyens en la politique. Les professionnels se réinterrogent alors sur la notion de transversalité : « penser global, agir local », collaboration public-privé, projets intégrés, ...

On crée des possibilités du développement territorial structuré par le concept d’innovation sociale  à partir de l’analyse du contexte historique, institutionnel et culturel des territoires.

 

Là-dessus, la revalorisation du rôle de la gouvernance est un des piliers principaux de l’innovation sociale dans le développement territorial.

Qui sont les développeurs territoriaux aujourd’hui ?

Il est difficile de dresser un portrait type du développeur territorial... Des hommes et des femmes ; des jeunes et des « vieux routiers » ; des salariés de collectivités ou d’associations, des bénévoles et des consultants ; des acteurs du monde rural et d’autres de l’urbain ; des généralistes et des spécialistes ; et une diversité de profils avec des formations initiales variées : économistes, agronomes, politologues, acteurs sociaux, architectes-urbanistes, etc.

DANS UN MEME ESPRIT CULTUREL.

 



 

 

 


 


Ce qui les rassemble tous les acteurs sociaux

Quel que soit leur employeur et leur territoire d’action, les acteurs sociaux ont comme point commun de faire avec et pour leur territoire. Ils permettent d’identifier et de s’approprier des ressources du territoire afin d’inventer des solutions aux problématiques locales.

 

OXFAM ET PARTENAIRE PAS A PAS

 

Le but ultime d’Oxfam est de mettre fin à l’injustice de la pauvreté.

 

Pour le travail de terrain, après prise de décision sur les actions à mener, dans un premier temps, les besoins des femmes ont été ciblés, avec pour objectif d’améliorer leur situation économique, alimentaire, sanitaire, éducationnelle, … La vision est de ne plus cantonner les femmes au rang de bénéficiaires, en gardant une vision stéréotypée du rôle des femmes (projets de santé, éducation des jeunes enfants, nutrition) et sans prendre en compte les inégalités initiales liées notamment à leur subordination.

 

Toutefois, il faudrait que toute action soit basée sur la culture locale en tenant en compte ses forces et ses faiblesses. Après tout, les inégalités sociales constatées de manière générales, sont d’ordre humain (la création de l’humain dans sa société). Et tel que dit dans la charte, les guerres prennent dans l’esprit des hommes, et c’est dans l’esprit des hommes qu’il faut rechercher les solutions pour la paix. Le défi a été l’éducation car « celui qui a l’éducation, a le pouvoir », dit-on.


RELATIVEMENT : L’ACTION DE OXFAM ET PARTENAIRES LOCAUX A KINSHASA : Présentation imagée basée sur les objectifs ci-dessous :

SIX OBJECTIFS DE OXFAM POUR CHANGER NOTRE MONDE

 

Objectif 1. Le droit de se faire entendre : revendication citoyenne du droit à une vie meilleure



 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

A l’INA avec l’appui de OXFAM des Associations locales dont AFAD, ADEGI, UCOPAKIN et autres MRNU, CLEJUPS  et Campagne Nous Pouvons.

Objectif 2. Promotion de la justice entre les femmes et les hommes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une action pilote des Partenaires de OXFAM à l’Est de la RDC et à Kinshasa en vue de lutter contre les injustices commises contre les femmes.


 

Objectif 3. Sauver des vies, aujourd’hui et demain


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Des actions des Partenaires de OXFAM dont ADEGI, AFAD et UCOPAKIN l’assainissement, l’approvisionnement en eau potable et l’accès aux latrines communautaires dans les milieux défavorisés


 

Objectif 4. Alimentation durable

       
       
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 


Objectif 5. Partage équitable des ressources naturelles


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Appui aux plus vulnérables par l’organisation des structures de production et de consommation en faveur de la justice économique et de la sécurité alimentaire


 

 

Objectif 6. Financement du développement et universalité des services essentiels

es actions des Partenaires de OXFAM dont ADEGI, AFAD et UCOPAKIN aux œuvres sociales dont l’école les centres de santé, marchés, ainsi que l’accès aux latrines communautaires dans les milieux défavorisés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

       
     
   
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


                                                                                                                                          

 

Marché de Bikuku (ONG AFAD)                                                                    Marché de Mbudi (ONG ADEGI)

 


 

CONCLUSION

LES PERSPECTIVES

q Le concept femme a été pendant longtemps oublié dans les débats sur le développement.

q La situation de la femme était dans la période précoloniale peu reluisante du fait des pesanteurs sociologiques.

q Ainsi pour la consolidation de cette culture de femme, il semble que l’approche genre est celle mieux adaptée, de nos jours, pour permettre la réalisation d’une synergie de développement.

 

Soyons donc optimiste, patient, combatif, créatif, déterminé et plein de volonté pour qu’on espère sur la terre africaine non pas des femmes  soumises mais plutôt des femmes leaders. Une éducation au développement est à ce prix car qui a l’éducation, a le pouvoir, dit-on.

 

Répondre aux besoins pratiques, c'est améliorer les conditions de vie concrètes, résoudre des besoins quotidiens et immédiats; il s'agit souvent d'alléger des tâches dans le cadre de la division sexuelle du travail selon des rôles féminins et masculins actuels.

Les enjeux stratégiques sont définis à partir de l'analyse de subordination; ils prennent en compte les défavorisés et visent une amélioration de leur statut et une réduction des inégalités entre hommes et femmes, éventuellement par un changement dans les relations de genre, ce qui se traduit par des glissements de rôles et une organisation plus égalitaire de la société.

 


 

       
     
 
   
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


"EPARGNE-TONTINE-MODERNE" (ETM), à Kinshasa : Piste de solution locale pour le développement communautaire.

L’ETM/Kinshasa, avec un bureau décentralisé, couvrira d’abord les communautés extrêmes de la capitale : celle de Bikuku et villages environnants, de Kinkole et Nd’jili à l’Est, puis celle de Matadi-Mayo et villages environnants à l’Ouest.

Un essai en prévision de l’action fédératrice du "Front pour la Femme Rurale" en RDC.

Phase du développement territorial

Projet Pilote de Développement des Collectivités dans les Provinces du Bas-Congo,de Bandundu et de Kinshasa en R.D.Congo (PPDC).


 

 

 

 

 

 

 

POUR L’ATTENTION,

MERCI A TOUS

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Christ MASOMO Uba Masomo "Ya Papa".

Christophe MASOMO Uba Masomo, de son nom traditionnel, MASOMO Mbidi Ngani Kisungu Magonso Ndonzoao Christophe Richard, communément appelé Ya Papa. Né un certain 07 Juillet 1962 à Tumba-Mani, au Kôngo Central (Ex. Bas-Zaïre), son père Michel MASOMO (décédé le 22 février 2010 à Kisantu) était enseignant (Directeur d’école primaire catholique), est originaire de Mfidi/Malele. Sa mère, Louise MUNKOKA Kizunda, ménagère de formation, est originaire de Kingoma, à Wungu/Kimpemba, appartenant à la lignée Kinziedi Kintuala. Elle donne six enfants, trois filles trois garçons, et surnomma par circonstance le 2è, Christ Masomo, Makisosila.
Christophe MASOMO passera ses études primaires dans des écoles catholiques de Kintusi (1971), Mpese (1972) puis Saint Joseph (Mfuki garçons, 1974). Il sera interné pour le cycle d’orientation (CAJACO) au Collège Notre Dame de Mbansa-Mboma jusque 1976. Après 2 ans de repos médical, il termine les humanités en 1982 à l’Institut catholique Ngwisana de Lemfu (Christ-Roi). Dès 1982, Christ Masomo vagabonde entre les études, notre beau métier ainsi que l’aventure touristique.
A Kinshasa, il avale son beau calvaire. Abandons cumulés des études techniques, commerciales, puis techniques professionnelles. Il en arrive après tout à la Gestion Administrative, puis viendra le graduat en Sciences de Développement et celui en Informatique avant de terminer les Sciences Infirmières.
Vite, il combine les secteurs privé et public : Enseignant au secondaire, Enseignant de relève puis Directeur Adjoint au primaire, Secrétaire Administratif d’Institut Supérieur, Secrétaire Administratif puis Secrétaire Général Adjoint d’ONG, Assistant Médical de Centre de Santé, Consultant d’Organisme local. Appelé au Congo (Pointe Noire) en 1994 pour une mission mixte d’ONG de santé, il sera bloqué à Brazzaville suite aux effets de la guerre 11 mois durant. En 1995, il regagne Kinshasa/Zaïre où il achève ses cycles de licence respectivement en Sciences de Développement et en Informatique de Gestion. Il s’engage désormais dans la profession libérale et humanitaire. - De Brazza à KIN, il dispense la formation de "l’Ecriture Négro-Africaine" qu’il apprit de l’inventeur WABELADIO Pay.

(A SUIVRE)
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  JE TE PARLE A TOI JEUNESSE
LETTRE À LA JEUNESSE
de Amadou Hampâté Bâ

Extrait de : "Lettres ouvertes à la jeunesse - Concours Dialogue des générations" organisé par l'ACCT (Agence de Coopération Culturelle et Technique) pour l'année "1985, Année internationale de la Jeunesse".

Mes chers cadets,
Celui qui vous parle est l'un des premiers nés du vingtième siècle. Il a donc vécu bien longtemps et, comme vous l'imaginez, vu et entendu beaucoup de choses de par le vaste monde. Il ne prétend pas pour autant être un maître en quoi que ce soit. Avant tout, il s'est voulu un éternel chercheur, un éternel élève, et aujourd'hui encore sa soif d'apprendre est aussi vive qu’aux premiers jours.

Il a commencé par chercher en lui-même, se donnant beaucoup de peine pour se découvrir et bien se connaître, afin de pouvoir ensuite se reconnaître en son prochain et l'aimer en conséquence. Il souhaiterait que chacun de vous en fasse autant.

Après cette quête difficile, il entreprit de nombreux voyages à travers le monde : Afrique, Proche-Orient, Europe, Amérique. En élève sans complexes ni préjugés, il sollicita l'enseignement de tous les maîtres et de tous les sages qu'il lui fut donné de rencontrer. Il se mit docilement à leur écoute. Il enregistra fidèlement leurs dires et analysa objectivement leurs leçons, afin de bien comprendre les différents aspects de leurs cultures et, par là même, les raisons de leur comportement. Bref, il s'efforça toujours de comprendre les hommes, car le grand problème de la vie, c'est la MUTUELLE COMPRÉHENSI0N.

Certes, qu'il s'agisse des individus, des nations, des races ou des cultures, nous sommes tous différents les uns des autres ; mais nous avons tous quelque chose de semblable aussi, et c'est cela qu'il faut chercher pour pouvoir se reconnaître en l'autre et dialoguer avec lui. Alors nos différences, au lieu de nous séparer, deviendront complémentarité et source d'enrichissement mutuel.

De même que la beauté d'un tapis tient à la variété de ses couleurs, la diversité des hommes, des cultures et des civilisations fait la beauté et la richesse du monde. Combien ennuyeux et monotone serait un monde uniforme où tous les hommes, calqués sur un même modèle, penseraient et vivraient de la même façon ! N'ayant plus rien à découvrir chez les autres, comment s'enrichirait-on soi même ?

A notre époque si grosse de menaces de toutes sortes, les hommes doivent mettre l'accent non plus sur ce qui les sépare, mais sur ce qu'ils ont de commun, dans le respect de l'identité de chacun. La rencontre et l'écoute de l'autre est toujours plus enrichissante, même pour l'épanouissement de sa propre identité, que les conflits ou les discussions stériles pour imposer son propre point de vue. Un vieux maître d'Afrique disait : il y a "ma" vérité et "ta" vérité, qui ne se rencontreront jamais. "LA" Vérité se trouve au milieu. Pour s'en approcher, chacun doit se dégager un peu de "sa" vérité pour faire un pas vers l'autre...

Jeunes gens, derniers-nés du vingtième siècle, vous vivez à une époque à la fois effrayante par les menaces qu’elle fait peser sur l'humanité et passionnante par les possibilités qu'elle ouvre dans le domaine des connaissances et de la communication entre les hommes. La génération du vingt et unième siècle connaîtra une fantastique rencontre de races et d'idées. Selon la façon dont elle assimilera ce phénomène, elle assurera sa survie ou provoquera sa destruction par des conflits meurtriers.
Dans ce monde moderne, personne ne peut plus se réfugier dans sa tour d'ivoire. Tous les États, qu'ils soient forts ou faibles, riches ou pauvres, sont désormais interdépendants, ne serait-ce que sur le plan économique ou face aux dangers d'une guerre internationale. Qu'ils le veuillent ou non�
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